(Michael Jordan, #23 Chicago Bulls & la chanteuse Pink)
J’ai eu dans ma vie des “tripes” d’adolescente. Oui oui genre New Kids on The Block avec la passe “ je colle tellement de posters qu’on voit plus la couleur de mes murs”. Mais grâce à mon frère, j’ai connu le basketball et ça a pris toute la place dans ma vie d’adolescente. On regardait pas le hockey, on regardait le basketball, on jouait au basketball, on voulait être nos idoles ! J’ai eu de la peine quand Michael Jordan a quitté le monde du basketball, à nos yeux, c’était le meilleur.
Il reste encore, aujourd’hui, une belle figure d’inspiration pour moi. Les chansons associées à Jordan ont été dans mon lecteur mp3 quand j’étais écœurée de courir, quand c’était difficile, quand ça ne me tentais plus. L’image qu’on nous a toujours “vendu”, que tout était possible. La chanson de R. Kelly “I believe i can fly” associée à Michael Jordan parce qu’on avait l’impression qu’il volait littéralement pour aller porter le ballon dans le panier, était plus qu’inspirante : “ If i can see it, than i can be it, if i just believe it, there’s nothing to it… i believe i can fly, i believe i can touch the sky!”
Encore aujourd’hui, sur pinterest, on retrouve des citations de Michael Jordan sur l’échec et revoir tous ces vidéos, me rappelle que du positif et ça me remonte automatiquement le moral et ça motive à se dépasser encore plus !
Et dans le même ordre d’idée, étrangement, les chansons de Pink ont le même effet sur moi. Autant que Michael Jordan. Sur un autre ordre d’idée. Quand on comprend les paroles de ses chansons, ça nous pousse à être soi-même, à s’aimer tel que nous sommes même si on est juste pas “fucking perfect”. D’ailleurs je n’aime pas qu’on coupe ses paroles de chanson parce qu’elles sont “vulgaires”. Ça manque de “punch”.
Quand la planète me tape sur les nerfs, parce que je suis pas à la hauteur, parce que je veux être normale, trop comme tout le monde. Quand ce que les autres pensent devient important, quand la culpabilité prend le dessus. Quand je ne plais pas à tout le monde, quand je suis encore en train de me faire du mauvais sang, à avoir de la peine parce que j’ai pas été “fucking perfect”, Pink trouve le moyen de mettre un baume sur tout ça et me permet de foncer encore plus “
Done looking for the critics ’cause they’re everywhere
They don’t like my jeans, they don’t get my hair
Change ourselves and we do it all the time
Why do we do that? Why do I do that? Why do I do that? “
Elle illustre tellement bien ce que je ressens, ce que j’ai envie d’être, ce qu’intérieurement je n’arrive pas à faire sortir. Cet envie d’envoyer “promener tout le monde”. . C’est la première fois que je suis “groupie” à ce point d’une chanteuse. Et honnêtement, j’adore ça ! Un grand coup de foudre muscial.
Qui vous motive ? Qui vient vous chercher intérieurement ? Qui vous pousse à vous dépasser ? Je suis curieuse !
La musique, Oprah, ma fille, la bonne bouffe, faire ce que j'aime… Bref, une multitude de choses, mais un en particulier des butS et des rêves à atteindre! En se fixant des objectifs (raisonnables), ça nous aide à garder le cap… Je me fais aussi un paquet de « to-do list »!
Voilà!
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Oui les objectifs ou les buts, j'adore. J'en ai souvent et ils sont souvent pas d'allures 🙂
Merci de ton commentaire Josy 😉
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