Vous saurez me dire s’il n’y a que moi qui a cette mystérieuse impression. Je sais que j’en ai déjà parlé avec ma maman et je connais déjà sa réponse et j’en ai déjà parlé avec Ritch, mais je tiens à souligner que je n’en reparle pas ici pour lui reprocher quelque chose. Il fait sa part et c’est bien apprécié.
Mais n’empêche que desfois, je me sens presque indispensable dans la maison. Je me sens comme un pilier de pont qui tient à bout de bras l’équivalent de 15 camions remorques plein à rebord et faut surtout pas que je lâche sinon tout va s’écrouler. Desfois, je tiens d’un bras, parce que j’ai envie de tout lâcher mais je peux pas. Comme si c’était obligatoire que ça soit moi qui tienne le coup pour tout le monde.
Je sais pas pour vous dans vos familles, mais ici, je suis celle qui s’occupe des rendez-vous chez pédiatre, dentistes, écoles, clsc, pharmacie, etc… Tout les matins je veille à ce que Gabe (enfin moins ces temps-ci) oublie rien et souvent quand il oublie quelque chose je vais lui porter (je sais c’est pas bien). J’aide pour les devoirs, je console, soigne, couche, lave, cherche des solutions, pousse les autres dans leurs projets, conseille, console…
Des fois, j’ai l’impression que ça tourne juste autour de moi parce que Ritch va être au sous-sol avec les enfants, les enfants vont monter me demander quelque chose au lieu d’aller au plus proche. Et depuis que j’ai des filles, impossible de prendre un bain toute seule 😉 Je partage tout, microbes, bain, salle de bain, chambre, lit, ordinateur…
Comme si ma vie (et sûrement que c’est le cas) est fusionnelle avec celle des autres de la famille. Comme plus de vie. Je suis là pour les autres.
Et par moment, maudit que c’est lourd 🙂 Quand ça va mal pour Gabe à l’école, quand je dois aller reconduire Bianca à la garderie et faire déjeuner les jujus en même temps… Une maudite chance que j’ai pas à surveiller Ritch lol.
Bref, c’est une réflexion que j’ai souvent. On est peut-être control freak et on le sait pas et on crée ce cercle vicieux finalement !
Mais n’empêche que desfois, je me sens presque indispensable dans la maison. Je me sens comme un pilier de pont qui tient à bout de bras l’équivalent de 15 camions remorques plein à rebord et faut surtout pas que je lâche sinon tout va s’écrouler. Desfois, je tiens d’un bras, parce que j’ai envie de tout lâcher mais je peux pas. Comme si c’était obligatoire que ça soit moi qui tienne le coup pour tout le monde.
Je sais pas pour vous dans vos familles, mais ici, je suis celle qui s’occupe des rendez-vous chez pédiatre, dentistes, écoles, clsc, pharmacie, etc… Tout les matins je veille à ce que Gabe (enfin moins ces temps-ci) oublie rien et souvent quand il oublie quelque chose je vais lui porter (je sais c’est pas bien). J’aide pour les devoirs, je console, soigne, couche, lave, cherche des solutions, pousse les autres dans leurs projets, conseille, console…
Des fois, j’ai l’impression que ça tourne juste autour de moi parce que Ritch va être au sous-sol avec les enfants, les enfants vont monter me demander quelque chose au lieu d’aller au plus proche. Et depuis que j’ai des filles, impossible de prendre un bain toute seule 😉 Je partage tout, microbes, bain, salle de bain, chambre, lit, ordinateur…
Comme si ma vie (et sûrement que c’est le cas) est fusionnelle avec celle des autres de la famille. Comme plus de vie. Je suis là pour les autres.
Et par moment, maudit que c’est lourd 🙂 Quand ça va mal pour Gabe à l’école, quand je dois aller reconduire Bianca à la garderie et faire déjeuner les jujus en même temps… Une maudite chance que j’ai pas à surveiller Ritch lol.
Bref, c’est une réflexion que j’ai souvent. On est peut-être control freak et on le sait pas et on crée ce cercle vicieux finalement !
bonjour ma belle
je pense que nous les femme de maintenant on n est dans tous le même cas que toi moi aussi je me sans le pilier de ma petit famille et c est dur avec deux ados a la maison et jai mon mari qui m aide
ben sais vrai que jai un peu plus le temps pour moi mais je suis entrain de penser sa fait pas si longtemps que mes enfants mon un peu lâcher car il sont toujours besoin de moi même mon mari me demande est ce que tu crois que cest mieux comme sa
toi ton problème je pense que c est tes bout choux il sont en bas age et sa doit te donner beaucoup de boulot c est pour cela que ta des moment de réflexion
et des fois la question vais je tenir je comprend besoin de moment d évasion et de prendre sois de sois
je pense que tu a former une chaine et tes le maillot fort et ton mari ce repose sur tes épaules même qui t aide voila je t envoies milles étincelles et bon courage
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re super jolie comme sa ton blog bisous mariemuriel
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(en passant très beau ton nouveau look de blogue!)
C'est vrai que nous les femmes nous occupons de plusieurs choses dans la maison et je dois rappeler à mon chum pour certaines choses.
Je suis encore chanceuse puisque mon fils est très jeune encore… Peut être plus tard je vais me reconnaître dans ce billet !
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Muriel: oui c'est peut-être moins pire quand les enfants sont grands 🙂 Quoi que j'ai pas vraiment l'impression que ça va changer lol
La Belle: Merci, j'avais le goût de changer. 🙂
Bah pourtant, même avec mes enfants jeunes, je me sens prise de partout. Peut-être est-ce le syndrome des mamans de jumeaux aussi 🙂
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bonjour ma belle
ben en faite a ce que jai compris petit souci quand il sont petit nos enfants et grand souci quand il sont grand lol
je suis d accord que quand c est du boulot quand sont petit et quand il sont grand cest tout t un planning a organiser avec notre vie de couple
cest pour cela que lon ce sans le pilier du famille meme avec laide de nos charmant homme
bon courrage
je vous envoies milles etincelles
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Je me sens parfois comme ça aussi, même souvent. Je le partage allègrement avec mon chummy, mais je me rappelle rapidement que lui, de son côté, il doit subvenir aux besoins de la famille.
Je me dis que je n'ai pas le droit de lâcher, parce que si lui lâche, on va être salement dans le caca loll
Alors j'imagine qu,on est chacun le pilier à notre façon 🙂
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Mme Cornue: oui c'est exactement comme tu dis. On en jase.. et puis le lendemain faut continuer.
Mais d'en parler et de s'en rendre compte, ça fait du bien.
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